Un film avec Alan Rickman ne pouvant pas être complètement mauvais, on attend ça avec impatience.
Après Le docu Mondovino et le road-pinard-movie Sideways (que je n'ai pas vu d'ailleurs, honte sur moi, si quelqu'un a la cassette), on entre donc dans le dur, avec un sujet pour vrai amateur, un sujet que vous pouvez lancer en soirée pour trier le bon grain de l'ivraie, les brebis galeuses des initiés : le jugement de Paris (1976). A ajouter donc (en toute amitié, hein, on n'est pas des rustres) à d'autres petites références qui font la petite différence, entre ceux qui savent et les autres, entre les vrais amis et ceux qui sont juste bons à boire du gin :
- le name dropping d'appellations obscures ;
- la façon d'apprécier d'abord le nez du vin sans secouer son verre comme un parkinsonien (et les arômes volatils, apostat !) ;
- la façon de couper la capsule ;
- la promotion du bouchon synthétique au nez des cro-magnons qui ne jurent encore que par le liège ;
- j'en passe...
Comme ça sent la lazysphère ici (et que je respecte mes sources), je vous laisse en apprendre plus en cliquant sur les liens, là haut.
Quand même... Alan Rickman... Le méchant dans Piège de cristal !
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